Le nouveau Premier ministre, choisi ce jeudi au bout du suspense par Emmanuel Macron, est né à La Tronche le 9 janvier 1951.
Le nom de Michel Barnier avait circulé en 2020 en Auvergne-Rhône-Alpes, puisque le Président de la République imaginait lui confier l'investiture pour les élections régionales face à Laurent Wauquiez. Une hypothèse qui n'avait jamais abouti.
Sa nomination a fait bondir à gauche, le Nouveau Front Populaire militant évidemment pour sa candidate Lucie Castets. "Michel Barnier va-t-il revenir sur la retraite à 64 ans? Rétablir l'ISF? Non, bien sûr que non: Macron l'a choisi à ces conditions. Donc nous le censurerons", a promis François Ruffin. Une position partagée par le reste des forces de gauche.
LFI défile ce samedi contre le " coup de force " qu' aurait commis Macron en nommant Barnier.
Signaler RépondreIl n' y a pas de coup de force.
Le NFP est minoritaire. C' est un agglomérat de partis qui ne voulaient pas prendre de mégats claques aux législatives.
Si on raisonne par agglomérat de partis on constate que :
Ensemble + LR + RN > NFP.
La droite ( Ensemble + LR + RN ) fait, tardivement, ce que la gauche à fait avec le NFP.
Les représentants du NFP protestent contre la nomination de Barnier.
Signaler RépondreLe NFP n' est cependant pas un parti politique mais un agglomérat de partis qui ne voulaient pas prendre une claque aux législatives.
Le parti vainqueur des élections est le RN bien que tous les autres partis se soient ligués contre lui.
On verra bien si Barnier a ou non une majorité. De cela on pourra déduire quel a été le gagnant des élections législatives.