L’autoroute A41 a été coupée ce mercredi matin en raison d’une fusillade ayant entrainé la mort d’une personne. Les faits se sont déroulés avant 10h30.
La victime a été retrouvée en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours et n’a pas pu être réanimée. Elle est décédée sur place. Il s'agit de Jean-Pierre Maldera, un ancien caïd de la pègre grenobloise selon une information du Dauphiné Libéré, confirmée par le parquet.
Il est probable que la victime âgée de 71 ans, circulant à bord d’une voiture, ait été prise pour cible par les tueurs, dans un autre véhicule.
Les autorités ont coupé la circulation de l’A41 dans le sens Grenoble-Chambéry.
Les auteurs de ce règlement de comptes sont activement recherchés. Leur voiture a été retrouvée incendiée dans la banlieue sud de Grenoble.
#Circulation | ⚠️Intervention en cours des forces de l'ordre et de secours sur l'A41
— Préfète de l'Isère 🇨🇵🇪🇺 (@Prefet38) March 12, 2025
❌Circulation interrompue dans le sens #Grenoble > #Chambéry
Déviation > Sortie obligatoire à #Meylan
⚠️Circulation perturbée dans le sens #Chambéry > #Grenoble
Sortie 25 obligatoire à… pic.twitter.com/hURPyBlE7i
ça débarrasse!
Signaler RépondreOui mais, les vélos...
Signaler RépondreBen non, Maldera c'est pas un nom "de chez nous". En tout cas c'est pas français. A moins que vous ne fassiez référence à une couleur de peau ou une religion pour justifier votre étonnement ?
Signaler RépondreVous avez tout compris ! pour certains il ne faut pas faire de vagues !
Signaler RépondreIl faut pas froisser les chances pour la France - c’est de la stigmatisation sinon
Signaler RépondreLa famille Maldera c'est pas un exemple d'après certains médias .
Signaler RépondreC'est pas une perte pour la société .
C'est la sélection naturelle, la loi de la jungle.
Signaler Répondreles crapules d'aujourd'hui ne valent rien avec un qi proche du néant
Signaler Répondreles politiques les laisses prendre la confiance, il serait grand temps de mettre
un severe coup dans cette fourmilière nauséabonde
C'est curieux, cette absence de retenue pour donner le nom et le prénom- dans l'article et dans son titre- de la victime, " un ancien caïd grenoblois". D'habitude, les médias ont beaucoup plus de scrupules pour donner le nom des auteurs et des victimes, lorsqu'elles sont manifestement issues de certaines "communautés". Mais, pour une fois que la presse a un truand "bien de chez nous" à se mettre sous la dent, on dirait qu'elle s'efforce de bien le placer dans la lumière. Je n'ose en imaginer la raison...
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