Ce n’est qu’une suite logique des agissements des élus écologistes puisqu’un recours au tribunal administratif de Grenoble avait été déposé le 16 février pour demander l’annulation et la réécriture du plan de protection de l’atmosphère validé par le préfet de l’Isère. Sur Twitter, le maire de Grenoble Éric Piolle souligne "l’insuffisance" de ce plan.
Selon l’association Respire, la majorité des 8000 établissements scolaires d’Auvergne-Rhône-Alpes dépassent les recommandations de l’OMS en matière de pollution aux particules fines et au dioxyde d’azote.
Et inaction municipale dans le quartier de Grand'place par mise en danger de la vie des administrés !
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