Sauf que dans le cas ici présenté, la femme est policière à Grenoble et son compagnon est incarcéré.
Selon le Dauphiné Libéré, une première enquête avait été ouverte pour surveiller la fonctionnaire de 22 ans qui passait ces coups de fil illicite au détenu, derrière les barreaux pour des faits de violences.
Mais la surveillance mise en place a permis de découvrir qu'elle consultait également de manière frauduleuse les fichiers de la police pour obtenir des renseignements. Sur qui, sur quoi ? Donnait-elle des informations à son compagnon sur les autres détenus ?
L'IGPN de Lyon a donc pris le relais en janvier dernier. Jusqu'à l'interpellation et le placement en garde à vue de la policière en fin de semaine dernière. Elle a ensuite été mise en examen puis laissée libre sous contrôle judiciaire.