Mais depuis le début du mandat, c’est peut-être la première fois qu’Eric Piolle fait autant l’unanimité contre lui. Même l’épisode du burkini à la piscine laissait certains observateurs hésitants.
En annonçant vouloir augmenter la taxe foncière de 25% en 2023, soit la plus forte hausse en province, pour faire face à la crise de l’énergie, le maire écologiste a réveillé son opposition.
Alain Carignon avait notamment appelé "les Grenoblois à se mobiliser car il existe des alternatives que nous proposons en vain. Elles passent par des réformes de structure, la revente de sièges coûteux acquis aux banques, la rationalisation des locaux municipaux vides, la fin de l’armée mexicaine au sommet de la hiérarchie communale et de l’empilement des structures". L’ancien maire aujourd’hui conseiller municipal entend se battre d’ici le printemps pour que les "Grenoblois (ne) soient (pas) les dindons d’une farce tragique pour eux, et que les propriétaires modestes déjà spoliés par la baisse de la valeur de leurs biens comparativement aux autres grandes villes soient à nouveau fortement pénalisés".
"Agir en sécurisant le chemin de transition"
"Le gouvernement a pris des mesures contre la crise énergétique en 2021. Nous, on l’avait vue venir. Le gouvernement aussi. Qu’a fait Eric Piolle à Grenoble pour anticiper cette crise énergétique ? Rien !", a indiqué l’ancienne députée macroniste Emilie Chalas à France 3.
Pour les socialistes, "les Grenoblois et les bailleurs sociaux (sont les) premières victimes de l’augmentation maximale de la fiscalité décidée par la majorité municipale".
"Lors du vote du budget, notre Groupe déposera plusieurs amendements, visant à protéger le pouvoir d’achat des Grenobloises et des Grenoblois, notamment les plus fragiles, à mener des politiques publiques de solidarités, de transition écologique et de développement de notre territoire", préviennent ceux qui, contrairement aux socialistes lyonnais, ne siègent pas dans la majorité verte d’Eric Piolle.
Et qu’en dit l’édile grenoblois ? "Aujourd’hui nous avons cette nécessité d’amplifier les transitions car nous voyons que les chocs du dérèglement climatique sont de plus en plus fréquents, a-t-il précisé au Dauphiné Libéré. (…) Nous devons agir en sécurisant le chemin de transition pour les moins aisés. Ça passe par un service public capable de se maintenir et d’absorber l’inflation très forte. (…) La logique gouvernementale est de baisser les impôts et de baisser le service public. Nous allons demander moins de la moitié de ce qui a été octroyé comme baisses d’impôts par Emmanuel Macron".
Mais nos salaires ont augmenté ? Des impôts on diminuer ? L'argent on le prends ou ? On nous saigne d'impôt de taxe après les prélèvements sur nos salaires et là en pleine crise augmentation de juste 25% !!!!
Signaler RépondreÇa suffit !!!! Alllloooooo ça suffit !!!!!
Ces gens sont tellement nourrit de l'argent magique des contribuables qu'ils ne se rende plus compte de rien !!!!!
Yen a marre de leur fausses crises de leur incapacité à gérer pendant qu'ils détourne l'argent !!!!
Donner le pouvoir politique aux pastèques islamo-gauchistes, revient a armer un fou furieux !
Signaler RépondreEn l'espèce, ce sont 16.169 électeurs (18,67 %) sur 86.581 électeurs inscrits, qui ont directement donné le pouvoir à ces gens dangereux. Indirectement, ce sont 55.557 abstentionnistes (64,17 %), qui ont contribué à cette catastrophe annoncée !
Il serait bon que ces 55.557 personnes se posent les bonnes questions pour 2026 !
Les 16.169 bas de plafond, sont irrécupérables.
J'espère pour les Grenoblois, que "l'opposition" va s'organiser et combattre sans faille, notamment sur le terrain du droit. À défaut, les moyens de droit sont là, pour ralentir cette augmentation illégale.